Les Spécifications Techniques d'un Ordinateur Compatible IBM PC

L’ordinateur compatible IBM PC


Quand on parle d’ordinateurs, on parle de « compatible IBM PC », c’est à dire des micro-ordinateurs (par opposition auxmini-ordinateurset/ou aux supercalculateurscomme les CRAYs) qui ont été commercialisés par la société IBM. L’objectif du compatible IBM PC était de proposer une machine à bas prix, destiné au plus grand nombre d’utilisateurs (Personnal Computer), et surtout avec unearchitecture ouverte(par opposition à une architecture propriétairepour laquelle seuls les produits du constructeur sont compatibles entre eux et avec sa machine).

L’ordinateur (ou poste de travail) se compose de l’unité centrale (CPU pour Central Processing Unit en anglais) qui renferme les matériels internes, et des périphériques qui, comme le clavier, la souris, le moniteur ou l’imprimante, sont reliés à l’unité centrale par des cordons ou des câbles.

Les matériels (le Hardware) ne s’opposent pas aux logiciels (le Software) puisque l'un ne va pas sans l'autre (d'ailleurs les constructeurs et les éditeurs ne s'y sont pas trompés), et maintenant il y a le réseau (Netware ou Middleware)…

La bibliographie: « Construire son PC pour les nuls » de Mark L. Chambers - SYBEX – 1998


Le sommaire

Un ordinateur est un ensemble de performance, d’intelligence et de connaissance…

Le meilleur des ordinateurs ?

L’unité centrale est pour beaucoup une simple « boite noire »

Les périphériques se connectent aux ports de communication

Les cartes d’extension ont un accès directe à la carte mère


Un ordinateur est un ensemble de performance, d’intelligence et de connaissance…

Un ordinateur (IBM PC, MAC, CRAY, …) est constitué de différents éléments matériels qui composent une plate-forme. Les composants sont installés sur la carte mère, à l’intérieur de l’unité centrale, ou à l’extérieur de celle-ci en tant que périphériques.

Le système d’exploitation est l’environnement de l’ordinateur et de l’utilisateur. Le système d’exploitation organise le travail de ces différents éléments matériels par l’intermédiaire de leur pilote, gère les applications compatibles et réagit aux interventions de l’utilisateur.

Le bon fonctionnement d’un ordinateur IBM PC s’organise autour d’un matériel performant et compatible, d’un système d’exploitation robuste et stable, et de logiciels qu’il faut savoir apprivoiser et pratiquer afin d’en tirer le maximum...

Un ordinateur doit être composé d'éléments homogènes, sinon l'un des composant risque de ralentir tous les autres (c'est le goulot d'étranglement).

Les matériels

Le matériel ou HARDWARE concerne la quincaillerie, les composants électroniques, les cartes, les puces, les câbles, les boîtiers. Tous ces éléments peuvent être rassemblés selon leur lieu de prédilection : l’unité centrale, les périphériques ou la carte mère. Les logiciels ou SOFTWARE réalisent une fonction système ou applicative.

Le bloc d’alimentation (250, 280, 320, 350 WATT,…)
La carte mère (AT, ATX, 815, 820, 850,…)
Le BIOS (CMOS, FLASH pour actualiser le programme POST,…)
Les connecteurs (ZIF, SLOT 7 pour PENTIUM II, SIMM pour la mémoire vive, ISA, PCI, AGP pour les cartes d’extension, …)
Le processeur (INTEL, AMD, CYRIX,…)
La mémoire vive (D RAM, SD RAM, RD RAM,…)
Le disque dur (IDE, SCSI,…)
Le lecteur de disquette (3,5 pouces, 5,25 pouces,…)
Le lecteur de CD (CD ROM, DVD,…)
Le graveur (CD-R, CD-RW,…)
Le clavier (AZERTY, QUERTY, à 103 touches, sans fils,…)
La souris (à deux boutons, à molette, à infrarouge,…)
Le moniteur (à canon d’électron, à cristaux liquide, à plasma,…)
L’imprimante (à aiguilles, à jet d’encre, laser,…)
Le scanner
La tablette graphique
La Web Cam
L’unité de sauvegarde (ZIP, JAZ, DAT, les disques durs externes,…)
Le disque dur externe
Le modem externe
La carte graphique (VGA, SVGA, 3D,…)
La carte son
La carte modem (V90 56 Kbps, ADSL, RNIS,…)
La carte réseau (RJ45,BNC, AUI,…)
La carte d’acquisition vidéo
La carte contrôleur SCSI (I, II, III,IIII, wide et Ultra wide…)
La carte contrôleur RAID
La carte contrôleur des lecteurs et des disques durs sur de très vieux systèmes...

Les logiciels

MICROSOFT (DOS, WINDOWS 95, WINDOWS NT,…)
OS/2
UNIX, POSIX,…
Libre de droit comme LINUX,…
Les suites bureautiques (traitement de texte, tableur, base de données, présentation, retouche d’image, navigateur…)
Les progiciels professionnels développés par les SSII…
Les jeux, les éducatifs, les encyclopédies,…
Les freewares, sharewares et les open sources GNU,…


Le meilleur des ordinateurs ?

Le meilleur ordinateur est celui qui comble son utilisateur

Le plus rapide et le plus puissant des ordinateurs ne le reste pas longtemps

Le nec plus ultra en 2001 :

Les outils de l'assembleur

Le calcul binaire

Les ordinateurs fonctionnent en calcul binaire, c'est à dire en base 2 (ou l'ensemble des nombres sont représentés à l'aide de deux symboles différents, le UN ou le ZERO, qui correspond au passage ou non du courant électrique dans un circuit imprimé).

Par exemple:

"15 indice 10" signifie la valeur 15 en base 10 (décimale) et s'exprime "1111 indice 2" en base deux (binaire).
Pour calculer la correspondance entre 15 et 1111, il suffit de diviser 15 par 2 et chacun des résultats, puis d'aligner le dernier résultat et tous les restes (ZERO ou UN) en remontant.
15 : 2 = 7 reste 1
7 : 2 = 3 reste 1
3 : 2 = 1 reste 1

Le bit est l'abréviation de Binary Digit et vaud UN ou ZERO (le courant PASSE ou STOP, la valeur est VRAIE ou FAUSSE).
Un octet (byte en anglais) équivaud à 8 bits, ce qui permet d'exprimer 2 puissance 8 = 256 possibilités (et qui a été à l'origine le nombre de bit choisi pour exprimer les caractères de l'alphabet selon la table ASCII).

La correspondance des valeurs numériques décimales en binaire
Valeurs décimales (base 10)
Valeurs binaires (base 2) Valeurs en hexadécimales (base 16)
0
0000
0
1
0001
1
2
0010
2
3
0011
3
4
0100
4
5
0101
5
6
0110
6
7
0111
7
8
1000
8
9
1001
9
10
1010
A
11
1011
B
12
1100
C
13
1101
D
14
1110
E
15
1111
F
16
00010000 (requière un bit supplémentaire puisque c'est le dix septième chiffre)
10
-1
10000001 (les nombres négatifs sont exprimés de la même façon, mais il faut dédier un bit pour préciser le signe)
En général, c'est le bit le plus fort qui exprime le signe.
F1


L’unité centrale est pour beaucoup une simple « boite noire »

L’informatique est une science issue de la cybernétique. Il y a des choses qui rentrent dans une boite noire et des choses qui en sortent. Ca va, ça vient, c’est tout. C’est pas très compliqué, c’est pas bien méchant, mais c’est pas tout rose pour autant. Il suffit presque d’y mettre du grain et de prendre le temps de savourer un bon café bien chaud… L’informatique, c’est avant tout la science de l’automatisation de l’information.

Pour passer au travers du filtre de l’informatique, l’information, les procédures et les supports doivent être analysés, canalisés, normalisés, standardisés, pixélisés, numérisés...

L’infinie du monde, la complexité de l’homme et la variété de la vie sont convertis en bits, réduits à des innombrables zéros et uns. Et la réalité devient la virtualité, un point c’est tout. Et pourtant, l’information peut être brute, isolée, parcellaire, tronquée, fausse ; elle peut être anticipée, prévue, attendue, espérée, caduque ; elle peut même parfois détenir un sens, une intention, un projet, une aura,…

Aujourd’hui, l’information n’est pas au même niveau que la communication, et la relation homme machine n’équivaut pas à une relation humaine.

L’information numérisée est traitée, transférée, présentée et stockée…

Le boîtier de l'unité centrale

La carte mère


La carte mère est l'élément principal d'un ordinateur puisque c'est celui qui déterminera le type de proccesseur, de mémoire vive et les possibilités d'extension avenir. La carte mère dispose de cavalier ou jumper qui permettent de configurer la vitesse du processeur (on dit que l'on "strappe"une carte mère pour éventuellement "overclocker" le processeur, c'est à dire à le faire tourner à une vitesse supérieure à celle pour laquelle il est construit ou garanti). Le chipset correspond aux différents composants qui sont sur la carte mère, il peuvent provenir de différents constructeurs (fondeurs SIS, VIA,...).

Le processeur


Le processeur est appelé CPU (Central Processing Unit). Le processeur est caractérisé par le type du jeu d'instruction (RISC chez le fondeur INTEL, CISC chez MOTOROLA) et par la fréquence de l'horloge interne. Le processeur est rapide quand il est cadencé à une fréquence élevée. La fréquence du processeur (exprimée en Mhz ou en Ghz) correspond approximativement au nombres d'instructions réalisées en une seule seconde. Une fréquence de 1 Giga Hertz représente un million de cycles d'horloge par seconde, et donc approximativement un million d'instructions par seconde.

La technologie MMX (Multimédia Extensions) permet de bénéficier d'un jeux d'instructions qui optimise la lecture des vidéos plein écran, le traitement des graphismes 3D et du son DOLBY STEREO SURROUND.

Les caractéristiques des processeurs INTEL pour ordinateur compatible IBM PC
Nom
Fréquence
Largeur du bus
Commentaires
8086 ou 8088
4 MHz
1 Octet = 8 bits

80286
8 MHz
2 Octets = 2x8 = 16 bits

80386
16 MHz
2 Octets = 1x16 = 16 bits En version SX et DX (intégrant une puce spécialisée dans le calcul à virgule flottante)
80486
32 MHz
4 Octets = 32 bits
En version SX et DX (intégrant une puce spécialisée dans le calcul à virgule flottante)
80586
75 MHz
4 Octets = 32 bits PENTIUM, PENTIUM II et PENTIUM III (avec des jeux d'instructions spécialisées pour accélérer les applications multimédias)
80686
1.5 GHz
4 Octets = 32 bits PENTIUM IV


8 Octets = 64 bits Bientôt pour le grand public (compatible 32 bits)













La mémoire cache

Il est utile d’avoir un peu de mémoire cache (512 Ko de mémoire cache) afin d’anticiper les besoins du processeur (commandes, adressage et données), mais il est superflu de trop anticiper parce que l’activité du processeur et celle de l’utilisateur sont très variables... La mémoire cache conserve par exemple les lecture disque et les résultats des calculs du processeur au cas où l'information serait encore utile.

La mémoire vive

La mémoire vive est appelée aussi la mémoire de travail ou la mémoire RAM (Random Access Memory). La RAM est accéssible en lecture seulement.

Les premiers PC sous DOS ne pouvaient gérer que 640 Ko de mémoire vive:

Les systèmes d'exploitation avec des interfaces graphiques (WINDOWS 95&98, NT4, LINUX), les logiciels de jeux 3D en temps réels et les applications graphiques professionnelles (PAINT SHOP PRO, ILLUSTRATOR, DIRECTOR, AUTOCAD...) requièrent un minimum de 64 Mo pour « tourner » avec aisance (les fichiers graphiques et sonores sont très volumineux, et beaucoup de mémoire vive est indispensable pour les afficher rapidement), fluidité (les fichiers vidéos changent plusieurs fois par secondes, et beaucoup de mémoire vive est primordiale pour éviter les à-coups), et précision (la haute résolution des images (1024x768), la profondeurs des couleurs (24 bits pour 16,7 millions de couleurs) et la qualité sonore exige beaucoup de mémoire vive pour déjouer la pixelisation et les bruits).

Faire tourner plusieurs applications en même temps et/ou travailler sur de gros fichiers multimédia nécessite au moins 128 Mo de RAM.

Il existe différents types de mémoires, et elles ne sont généralement pas compatibles entre elles:

Il vaut mieux éviter de mélanger les marques de constructeur de mémoire vive, même si celles-ci répondent à la même norme, et il est préférable de ne pas utiliser en même temps des barrettes qui n’ont pas la même vitesse d’accès (la vitesse d’accès la plus petite serait alors sélectionnée comme dénominateur commun pour l’ensemble des barrettes et l’avantage des barrettes rapides ne serait pas profitable ; parfois le mélange ne fonctionne même pas…). Certain type de mémoire, comme la RAMBUS ne fonctionne que par pair, il vaut mieux le savoir avant...

Les vitesses des barrettes mémoire:

Le lecteur de disquettes

Le lecteur de disquette 3,5 pouces permet de lire les disquettes de basse intensité (720 Ko) et de haute intensité (1,44 Mo).

Le lecteur de disquette requière un contrôleur de disquette pour gérer le flux des bits, et celui-ci est généralement installé d’office sur la carte mère.

Le lecteur de disquette est indispensable pour stocker et transférer de petites quantités de données, même s’il faut attendre plusieurs secondes pour y avoir accès, et même si la technologie des graveurs de CDROM à considérablement diminué le coût du stockage du Méga Octet.

Un utilitaire comme MACDRIVE95 permet de lire et de formater des disquettes MACINTOSH.

Le disque dur


Le disque dur est aujourd’hui un élément crucial de l’équipement d’un ordinateur. Le disque dur est une unité de stockage magnétique. Le disque dur conserve les données même quand l’ordinateur est éteint ; à la différence de la mémoire RAM qui est volatile et dont le contenu est effacé quand l’ordinateur n’est plus alimenté en électricité, la mémoire ROM (Read Only Memory) est quasi permanente et s’appèle la mémoire de masse ; ainsi peuvent être stockés et conservés les fichiers du système d’exploitation, les fichiers des applications qui sont installées et les documents personnels de l’utilisateur.

Les données stockées sur le disque dur peuvent être compresséesafin de gagner de l’espace mais au détriment de la rapidité puisque les données doivent être décompressées quand elles sont appelées, et en dépit d’une aléatoire perte d’efficacité puisque les algorithmes de compression et de décompression n’ont pas la réputation d’être fiables à 100%. Le programme de compression du disque dur sous DOS 6.22 et WINDOWS 95 est DRIVESPACE.

Les premiers micro-ordinateurs ne possédait pas de disque dur (la mémoire RAM et ROM coûtait très chère) et fonctionnaient à partir de disquettes 5,25 pouces et 3,5 pouces qui conservaient aussi bien le système d’exploitation que les fichiers de l’utilisateur.

Le disque dur peut-être interne ou externe, et plusieurs disques durs peuvent cohabiter ensembles.
Les disques durs qui cohabitent ensembles sont hiérarchisés, et le plus rapide est souvent utilisé pour contenir la partition primaire qui permet de lancer la séquence d’amorçage (le BOOT) et les fichiers systèmes du système d’exploitation.

Les disques durs sont de type IDE ou de type SCSI:
La capacité de stockage est le critère déterminant d’un disque dur. La mémoire de masse se doit d’être véritablement massive, surtout avec la taille, le nombre et la qualité grandissante des applications, des fichiers et des sites WEB.

Le temps d’accès est aussi important pour les utilisateurs exigeants. Le temps d’accès correspond à la durée nécessaire pour écrire ou lire une information sur le disque dur. Le temps d’accès est mesuré en milisecondes (ms). Le temps d’accès d’un disque dur de type E-IDE est de l’ordre de 12 à 9 ms, tandis que celui d’un disque dur de type SCSI est de 8 ms. Pour être au niveau d’un PENTIUM II MMX, le temps d’accès du disque dur doit être inférieur à 10 ms.

Le nombre de plateau et la densité de chacun d'entre eux peut être également un facteur important pour les performances.

Le nombre de tour minute (t/m) ou RPM (Round or Revolution Per Minute) correspond à la vitesse de rotation des plateaux du disque dur. Le nombre de tour minute d’un disque dur de type E-IDE Ultra DMA est de 5400 t/m ou 7200 t/m. Le bruit peut être atténué quand les plateaux sont plongés dans un fluide...

Les disques dur A/V (audio / vidéo) sont des disques dur spécialisés pour l’enregistrement et le montage de fichiers audio et/ou vidéo numériques. Les disques durs A/V n’effectuent pas le calibrage thermique qui recale les têtes de lecture et ils disposent d’une mémoire tampon de 2 Méga Octets, ainsi le transfert de données n’est pas interrompu en cours d’utilisation et la fluidité est exemplaire.

La mémoire cache ou la mémoire tampon d’un disque dur conserve les données les plus fréquemment utilisées par le CPU, ainsi celles-ci sont directement disponibles. Un disque dur doit disposer d’au moins 256 Kilo Octets de mémoire cache.

La durée de vie d’un disque dur dépend de l’intensité de son utilisation, et plus celui-ci est sollicité, plus il est susceptible de s’user, de se rayer ou de tomber en rad de BREST… Il est donc hautement recommandé d’effectuer régulièrement des sauvegardes et de conserver les originaux (CDROM MASTER) de toutes les applications qui y sont installées. Par ailleurs, une défragmentation régulière du disque dur permet non seulement d’accélérer l’accès au données, mais aussi de soulager le travail du disque dur. Certains modèles de disque dur sont ventilés, ils se loge alors dans une baie de 5,25 pouce de large.

L’installation du matériel terminée, il faut préparer le support à recevoir les informations. L’espace de stockage d’un disque dur peut être divisé ou cloisonné afin d’en améliorer la gestion, c’est le partitionnement qui est réalisé avec des logiciels comme FDISK, DISK DRUIDE pour linux, PARTITION MAGIC. L’organisation de l’espace total du disque est répertoriée dans le premier secteur du disque, le MBR (MASTER BOOT RECORD), qui contient le nom et l’adresse de début et de fin des partitions : une ou plusieurs partitions primaires (active ou non) et éventuellement des partitions étendues qui peuvent contenir une ou plusieurs partitions secondaires. Le partitionnement d’un disque dur constitue une structure logique. A l’intérieure de ces partitions, les cellules de mémoire sont regroupées et organisées en grappes (CLUSTERS) et en secteurs dont la taille et le nombre permettent de faciliter et d’optimiser le classement des informations. Cette organisation constitue une structure logique, c’est le système de fichier (FAT 16, FAT 32, NTFS, HTFS, EXT2,…) qui doit être compatible avec le système d’exploitation (DOS, WINDOWS 95&98, WINDOWS NT, OS/2, LINUX,…) et qui est réalisée avec le programme FORMAT. Une fois formaté, le support est en mesure d’enregistrer n’importe quels fichiers, les applications peuvent être installées. La séquence de préparation du disque dur est : FDISK + FORMAT + INSTALL.

Le disque dur doit être reconnu par le programme BIOS.

Le lecteur de CDROM


Le lecteur de CDROM permet de lire les informations contenus dans un CDROM (Compact Disc ROM qui permet de stocker 650 ou 700 Méga Octets sur une galette de 12 cm de diamètre) et d’écouter la musique des CD AUDIO.

La « gueule » des lecteurs de CDROM sont soit à caddie, à tiroir ou à fente (slot in). Un petit trou est placé à coté du bouton d’ouverture du lecteur de CDROM et permet à l’aide d’un trombone de l’ouvrir mécaniquement.

Les lecteurs de CDROM peuvent être pilotés par des interfaces IDE ou SCSI. Les lecteurs de CDROM de type IDE sont généralement internes et les lecteurs de CDROM de type SCSI sont généralement externes. L’avantage d’un lecteur externe est qu’il peut être transporté facilement et que la source de chaleur du faisceau laser est à l’extérieur de l’unité centrale. Les lecteurs de CDROM de type IDE sont généralement installés comme esclave, la priorité étant donnée au disque dur installé comme maître.

Les lecteurs de CDROM utilisent un faisceau laser dirigé vers le CDROM et une lentille qui en capte les réflexions lumineuses. La surface du CDROM est constituée de cercles concentriques sur lesquels sont disposés une succession de plats qui réfléchissent la lumière du laser et de creux (micro cuvettes) qui ne la réfléchissent pas. L’état (creux ou plat) de ces petites pastilles correspond à la valeur numérique (Zéro ou Un) d’un bit, et selon qu’elles se situent proches du centre de la galette ou vers la périphérie, ces pastilles sont plus ou moins longues et plus ou moins espacées afin de tenir compte de la vitesse de rotation relative du disque.

La vitesse de lecture ou la vitesse de transfert varie et se mesure en Kilo Octets par secondes : 4x, 8x, 12x, 16x, 24x et 32x. Les lecteurs de CDROM de première génération pouvaient lire 150 Kilo Octets par secondes, ensuite sont sortis les lecteurs « quatre vitesse » (4x) qui pouvaient lire quatre fois plus vite (4 x 150 Ko/s = 600 Ko/s.

Le temps d’accès représente la durée nécessaire pour retrouver une information sur le CDROM et se mesure en milisecondes. Un bon lecteur de CDROM affiche un temps d’accès de l’ordre de 80 ms.

La mémoire cache ou mémoire tampon permet de stocker les données les plus souvent utilisées et d’accélérer la transmission et la fluidité de l’information. Un bon lecteur de CDROM comporte plusieurs Méga Octets de mémoire cache, ce qui améliore la lecture des gros fichiers audio et/ou vidéo numériques.

Les commandes audio, la prise casque, le potentiomètre de volume ou la sortie stéréo vers un amplificateur sont des caractéristique de lecteurs de CDROM de haut de gamme.

La lentille du lecteur peut être automatiquement nettoyée à chaque utilisation, ou à l’aide d’un CDROM de nettoyage.

Le lecteur de CDROM doit être reconnu par le système d’exploitation à l’aide du pilote (DRIVER). Le pilote doit être fourni par le fabricant avec le matériel ou disponible sur son site Internet. Les pilotes correspondants aux systèmes d’exploitation comme WINDOWS 95&98, WINDOWS NT et OS/2 sont souvent les mêmes, ceux sont des pilotes DOS. N’oublions pas que pour installer un système d’exploitation à partir d’un disque CDROM, il est indispensable que le pilote du lecteur de CDROM soit chargé en mémoire et reconnu par le mini système d’exploitation (souvent le DOS) qui sert à l’installation de l’autre système d’exploitation. En général, le pilote est copié sur la disquette de boot.

Le lecteur de DVD

Le lecteur de DVD (Digital Vidéo Disc) permet de lire les disques DVD qui contiennent plus d’information qu’un disque CDROM. La longueur minimum d’une pastille est de 0,83 mµ pour les CDROM et de 0,40 mµ pour les DVD. Les disques DVD « double face » doublent la capacité d'un DVD normal et offre une capacité de stockage de 17 GIGA Octets.

Les lecteurs de DVD (Digital Vidéo Disc) qui disposent d'un système audio numérique SURROUND pour le son et d’une carte de décompression matérielle MPEG II pour la vidéo permettent de visionner des films, HOME THEATER, avec une bande son numérique en DOLBY STEREO SURROUND et permettent même de choisir la langue des sous-titres.

Le lecteur de DVD interne et la carte de décompression matérielle MPEG II installée sur un connecteur de la carte mère peuvent être reliés directement ensemble par l’intermédiaire d’un petit câble qui accélère le transfert et le traitement de la vidéo compressée.

Le lecteur de DVD doit être reconnu par le système d’exploitation à l’aide du pilote (DRIVER). Le pilote doit être fourni par le fabricant avec le matériel ou disponible sur son site Internet.


Les périphériques se connectent aux ports de communication

Les ports de connexion

Le clavier

Le clavier peut avoir un nombre de 84 à 105 touches.

Le clavier AZERTY (les six première lettres en haut à droite du clavier) est un clavier pour les langues francophones, tandis que le clavier QUERTY est un clavier anglo-saxon.

Un clavier comporte les lettres de l'alphabet selon les nationalités, le pavé numérique et les touches de fonction.

Un bon clavier numérique s'illumine avec les trois lumières : NUM, LOCK et DEFIL...

La souris

La souris est un dispositif de pointage.
Il existe plusieurs sortes de souris :
Le moniteur

Le moniteur constitue la sortie principale d'un ordinateur et se trouve au centre de la relation homme/machine. L'impression et le confort visuelle sont subjectifs et propres à chacun, aussi vaut-il mieux le voir pour le croire...

Le moniteur doit être compatible VGA pour afficher 256 couleurs ou compatible SVGA pour afficher 16,7 millions de couleurs. Le moniteur doit être conforme à la norme ENERGY STAR ou DPMS pour offrir la fonctionnalité d'économie d'énergie.

Les dimensions d'un moniteur sont mesurées dans la diagonale et, selon l’unité de mesure anglo-saxonne bien connue, le pouce dont l’étalon n’est pas conservé à SEVRES mais sur nos doigt. Le pouce (INCH en anglais) est égal à 2,54 cm. La diagonale des moniteurs peut prendre les valeurs de 14, 15, 17, 19, 20, 21 ou 24 pouces. La diagonale utile ne correspond pas tout à fait à la diagonale effective, parce que l'écran est bombé et que les bords provoque une distorsion de l'image (principe d’anamorphose).

Le pas de masque (PITCH) correspond à la distance moyenne entre deux pixel. Un pas de masque faible est un indicateur de la précision du moniteur et un pas de masque trop grand risque de donner un aspect granuleux. Le pas de masque des moniteurs haut de gamme est de 0,24 ou 0,26. Le pas de masque des moniteur SVGA standard est de 0,28.

Le taux de rafraîchissement est la fréquence à laquelle chacun des pixels est rechargés. Le taux de rafraîchissement doit être compatible avec la carte graphique afin de ne pas brûler les pixels du moniteur. Le balayage du rafraîchissement s'effectue de haut en bas (verticalement) et de gauche à droite (horizontalement). Le taux de rafraîchissement doit être élevé pour garantir le meilleur confort visuel et éviter un effet de scintillement très désagréable et très fatigant. Le mode de rafraîchissement entrelacé "saute" une ligne sur deux et accroît l'effet de scintillement, il est donc préférable de choisir un mode non-entrelacé.

Les moniteurs à écran plat permettent d'échapper à l'anamorphoses des images. L'anti-reflet empêche la réverbération des sources de lumières environnantes. Le moniteur à basse radiation (standard MPR II) permet de limiter les radiations électromagnétiques causées par le bombardement continuel d'électrons sur la vitre de l'écran. Les commandes digitales permettent de régler la position verticale et horizontale de la mire, la luminosité et le contraste.

La configuration colorimétrique permet de régler les teintes conformément à la norme du nuancier PANTONE des imprimeurs.

Les haut-parleurs intégrés au moniteur sont généralement de moins bonnes qualités que des haut-parleurs séparés.

Le socle ou le pied permettent de régler la hauteur de l'écran et si ce n’est de se prémunir du moins de retarder les douleurs cervicales et les raideurs dans la nuque qui surviennent immanquablement au bout d'un certain temps...

L'unité de sauvegarde


L’unité de sauvegarde est essentiellement une unité de stockage dont l’objectif peut être de protéger son travail (la sécurité et l’incorruptibilité) et/ou de le transférer. La sauvegarde (BACKUP) régulière et complète du système et de ses données est une habitude incontournable, celle-ci assure la pérennité et la continuité de l’outil et du produit informatique. Les unités de sauvegarde peuvent être de différents types, d’une capacité de stockage et d’une rapidité variable. Elles offrent éventuellement la possibilité de compresser les données stockées et permettent parfois de choisir le taux de compression.

Le choix d’une unité de sauvegarde dépend de la quantité et de la priorité des données à stocker, et de la fréquence de renouvellement (écriture) et d’accès (lecture) des données qui ont été stockées.

Les unités de sauvegarde :
Les unités de sauvegarde peuvent être de type IDE ou SCSI, et selon le cas requière le contrôleur adéquat.

Le graveur


La vitesse d’accès du processeur et du disque dur doivent être supérieurs à celle du graveur afin que le débit des données soit convenablement absorbé.

La gravure sur CDROM permet de copier toutes sortes d’informations numérisées, quel que soit l’utilisation ou le format (les applications en binaire, les textes, les feuilles de calcul, les jeux, la musique MP3, les photographies, la vidéo, les sites Internet,…). La duplication des bits permet de faire des doubles de ses propres CDROM, d’effectuer des archives de ses fichiers, des sauvegardes de ses disques durs, et de réaliser ses propres CD AUDIO (compilations de morceaux de musique choisies à l’aide de programmes d’édition audio numérique qui filtrent les grésillements et épurent les sons grâce à la fonction « disc-at-once »).

La gravure sur CDROM est lisible sur tout les systèmes d’exploitation, elle est fiable, universelle permet d’archiver sur un seul support les fichiers importants qui occupent beaucoup de place. Un disque peut contenir 650 ou 680 Méga Octets de données, 74 minutes de musique, et offre une longévité de 10 à 100 ans. La gravure sur CDROM ne se démagnétise pas sous l’effet des rayons X des aéroports. Plusieurs utilisateurs d’un réseaux peuvent accéder à des données partagées et stockées sur un CDROM.

Le graveur peut être utilisé comme un lecteur de CDROM. Le graveur est utilisé au moyen d’un logiciel de gravure. La reproduction de données est soumise à la loi sur le copyright, ou les droits d’auteurs, et expose le contrevenant à des poursuites judiciaires.

Les disques CD-RW sont plus chers (150 Frs) que les simples CD vierges (12 Frs), mais ils permettent d’y réinscrire des données un millier de fois. Les CD-RW ne sont pas lisibles par tous les lecteurs ! ! !

Pour une bonne conservation, les disques CDROM doivent être manipulés avec soins et rangés à l’abris de la chaleur, de la poussière, des liquides, des traces de doigts, des inscriptions au stylo bille et de toutes autres rayures de la couche de vernis qui peuvent dévier le faisceau laser.

Les Haut-parleurs

Les Haut-parleurs conçus spécialement pour les ordinateurs sont normalement équipés d’un blindage magnétique qui réduit les perturbations magnétiques susceptibles de déformer les images du moniteur.

Le potentiomètre du volume placé sur les enceintes facilite les réglages. Le câble audio des haut-parleurs s’enfiche sur la carte son dans la prise de type « mini-jack », libellé SPEAKER, SPKR ou LINE OUT (sortie audio mono ou stéréo). Le câble du microphone doit être connecté à la carte son dans la prise jack, libellé MIC ou LINE IN (entrée audio).

Le caisson de basse (SUBWOOFER) permet d’intensifier les basses fréquences qui sont males restituées avec la numérisation et la compression. Le caisson de basse peut être, soit intégré aux haut-parleurs, soit être indépendant (auquel cas, le câble se raccorde à la sortie SPEAKER).

Le scanner

Un scanner permet de numériser tout type de documents, des textes et/ou des images. La numérisation peut être effectuée dans différents formats (BMP, GIF, JPEG, TIFF, APS,...)

Le scanner qui numérise en une seule passe est préférable aux anciens scanner dits "à trois passes" dont le rayon optique devait passer une fois pour chaque couleur fondamentale, une fois pour le rouge, une fois pour le vert et une fois pour le bleue, ce qui nuit à la qualité de la numérisation, laquelle risque d'être floue si le scanner vibre entre temps, et qui demande plus de temps puisqu'il faut repasser trois fois.

L'utilisation régulière d'un scanner requière beaucoup d'espace mémoire sur le disque dur ou sur des supports amovibles. Un seul document au format A4, numérisé à une résolution faible de 300 dpi "pèse" déjà plus de 40 Méga Octets…

Le scanner à plat, qui fonctionne un peu comme avec une photocopieuse, permet d’importer et de numériser des images extérieures au monde digital.

Les scanners peuvent être du type SCSI.

La résolution optique se mesure en points par pouce ou dpi (dots per inches) : 300x300 dpi, 300x600 dpi, 600x600 dpi, 600x1200 dpi,… La résolution optique est celle à laquelle le scanner lit ou analyse un document. La résolution interpolée est celle qui est calculée par le logiciel quand celui-ci ajoute à l'image scannée des points numérisées supplémentaires afin d'en accroître la qualité. Ses points numérisés supplémentaires sont calculés par interpolation grâce à un algorithme. L'interpolation est utilisée quand un document doit être agrandit. La résolution interpolée peut être de 19200x19200dpi.

La profondeur de couleur se mesure en nombre de bits utilisé pour identifier une couleur, plus le nombre de bits est important et plus le nombre de nuances de couleurs l'est aussi : 24 bits (ou TRUE COLORS) permettent d'afficher 16,7 millions de couleurs, 30 bits permettent d'afficher un milliard de couleurs et 1024 niveaux de gris, 36 bits permettent d'afficher 68 milliard de couleurs…

Les logiciel de numérisation compatible TWAIN permettent d'importer directement l'image scannée dans le logiciel de retouche d'image.

Les scanners sont souvent accompagnés de logiciels : un éditeur d'image pour la retouche, un logiciel de mise en page, un logiciel de reconnaissance de caractères (OCR),…

Pour reconnaître du texte, il est nécessaire d’utiliser un logiciel de reconnaissance de caractère (OCR).

L'appareil de photo numérique

Les appareils de photos numériques permettent d'effectuer des photographies numériques qui par la suite peuvent être importées dans un ordinateur. Le câble de connexion de l'appareil de photos numériques se branche sur le port série de l'ordinateur.

Les appareils photos numériques utilisent de la mémoire RAM flash qui conserve les photos numérisées quand l'appareil est éteint. La mémoire peut être amovible, auquel cas, l'on peut emmener avec soit une réserve afin d'accroître la capacité de stockage.

Les appareils de photos numériques qui ont un affichage LCD à cristaux liquides permettent de visualiser une photographie tout de suite après l'avoir prise et ainsi se faire une idée si celle-ci mérite d'être conservée et enregistrée.

Les appareils de photos numériques de bonne qualité proposent une résolution de 1280x960 dpi qui permet d'afficher 16 millions de couleurs différentes. Les appareils de photos numériques peuvent permettre la compression des images au format JPEG. Les appareils de photos numériques de bonne qualité ont une fonction zoom comme tout autre appareil de photographie.

La tablette graphique

La tablette (PAD) et son stylet permettent de retrouver les joies de l'écriture manuscrite et le coup de crayon de l'artiste.

L'imprimante

L'imprimante est un outil indispensable pour lire et/ou garder une trace papier d'un document.

Il existe plusieurs type d'imprimantes : Une bonne imprimante permet d'imprimer des feuilles au format A4, des enveloppes, des étiquettes, et des transparents. Une bonne imprimante permet de stocker une réserve de feuilles A4 dans un bac d'au moins une centaine de pages.

Le choix d'une imprimante dépend de différents critères : la quantité de feuille à imprimer, la qualité de l'impression, la cadence de l'impression, le prix des consommables, les cartouches noires pour le texte et les cartouches cyan, magenta et jaune pour l'impression en couleur pour les images,…

Le câble qui relit l'imprimante à l'ordinateur doit être un câble parallèle bidirectionnel.

Il existye des matériels qui font à la fois imprimante + scanner + photocopieuse.

Le nombre de page par minutes permet de comparer les performances des imprimantes (c'est un facteur qui dépend du type de caractères utilisé et de la mémoire tampon de l'imprimante).



Les cartes d’extension ont un accès direct à la carte mère


La carte graphique

La carte graphique traite les fichiers graphiques et vidéos et affiche le résultat sur l'écran du moniteur.
La carte graphique était intégrée à la carte mère sur les anciens modèles d’ordinateur.
L’affichage monochrome n’est plus de rigueur en informatique, même si la frappe des lignes de commandes reste couramment pratiquée.
L’affichage d’une interface graphique intuitive, WYSIWYG (What You See Is What You Get), le succès des jeux, du multimédia et de l’Internet sont devenus incontournables, et la carte graphique connectée sur un slot de la carte mère est devenu une priorité dans le choix des composants d’un ordinateur.

La carte graphique d’aujourd’hui est placée sur la carte mère dans un connecteur d'extension ISA (8 et 16 bits), VESA LOCAL BUS, PCI (32 bits) ou encore mieux AGP (128 bits).
La carte graphique et le moniteur doivent répondre à la norme du standard EGA (pour afficher 16 couleurs), VGA (pour afficher 256 couleurs) ou à celle du désormais standard SVGA (pour afficher 16,7 millions de couleurs et permettre un rendu photo réaliste).
La carte graphique doit être compatible avec le système d'exploitation installé et les pilotes doivent être disponibles.
La carte graphique doit être compatible DIRECTX pour les systèmes d'exploitation WINDOWS.
La carte graphique peut intégrer un circuit accélérateur pour WINDOWS.
La carte graphique peut-être de type OPENGL pour visualiser les animations vidéo haute résolution en temps réel et apprécier les effets 3D.
La carte graphique peut satisfaire la norme 3Dfx sur circuit VOODOO I ou II.

La carte graphique 3D est une carte graphique accélératrice qui intègre un processeur dédié aux tâches d'affichage et qui peut aller jusqu'à soutenir une cadence de 60 images par seconde.
Une carte graphique 3D gère des algorithmes complexes pour produire des images tridimensionnelles.
Une carte graphique 3D calcule rapidement les volumes (polygones des jeux 3D), les textures et la luminosité.

La mémoire vidéo est importante pour afficher une bonne qualité d'images en temps réel (sans à-coups et sans pixélisation), il faut au minimum 4 à 8 Mo.
La mémoire vidéo est importante pour afficher le maximum de nuances (une profondeur de couleurs de 24 bits permet d'afficher 16,7 millions de couleurs), le maximum de précision et d'espace (dans une haute résolution de 1024x768=786432 pixels et en plein écran avec un moniteur large de 21 pouces) et le maximum de souplesse, de douceur et de confort visuel (un taux de rafraîchissement non entrelacé de 85 Hz).
La mémoire vidéo sert de tampon ou de mémoire cache entre le calcul et l'affichage (de 4 Mo à 64 Mo).

La résolution est le produit du nombre de pixel en largeur (horizontal) et en hauteur (vertical). Chaque pixel affiche une couleur. Plus la résolution est élevée, plus le nombre de pixel est important et plus la définition de l'image est de qualité. Les résolutions disponibles sont 640x480, 800x600, 1024x768.

La profondeur de couleurs correspond à la palette du peintre et détermine le nombre de couleurs ou de nuances qu'il est possible d'afficher ou d'attribuer à chacun des pixels du moniteur.
La profondeur de couleurs s'exprime en bits, 8 bits permet d'afficher 256 couleurs différentes (il y a 2 à la puissance 8 possibilités, c'est à dire 256), 16 bits permet d'afficher 65000 couleurs, 24 bits permet d'afficher 16,7 millions de couleurs.

Le taux de rafraîchissement indique la fréquence à laquelle chaque pixel est chargé en électricité.
L’amplitude du taux de rafraîchissement permis par la carte graphique peut aller de 60 à 85 Hz mais attention lors de la configuration, si le taux de rafraîchissement de la carte graphique est supérieur à celui que peut supporter le moniteur, alors les luminophores de l’écran risquent de chauffer, puis de brûler et de rendre le moniteur aveugle ! ! !
L'intensité lumineuse de chaque pixel diminue et a besoin d'être rafraîchie périodiquement.
Une fréquence de rafraîchissement élevée diminue l'effet de scintillement et la fatigue oculaire.

La sortie TV et le TUNER TV peuvent être intégrés à la carte graphique.
La sortie TV permet de diffuser sur la télévision de la production numérique provenant d'un ordinateur, tandis que le TUNER TV permet d'afficher les programmes des chaînes de télévision sur un écran d'ordinateur.

La norme MPEG est une norme de compression vidéo numérique (norme d'encodage).
Une carte de décompression MPEG peut-être intégrée à la carte graphique.
Un logiciel de décompression MPEG n'est pas aussi performant qu'une carte de décompression matérielle MPEG.
La carte de décompression matérielle MPEG II (Moving Pictures Expert Group) est indispensable pour lire avec fluidité les films vidéo sur DVD et va de pair avec la technologie des processeurs MMX et les applications multimédia.

La norme MJPEG est une norme, un format, pour monter des vidéo qui seront lues par une carte d'acquisition et de restitution.
Le format AVI développé par MICROSOFT permet de lire des vidéo sur PC. Toutefois, pour stocker sans compression une minute de vidéo plein écran, enregistrée à la cadence de 25 images par secondes, en 16,7 millions de couleurs et avec un son stéréo 16 bits de 44 kHz, il faut 2 GIGA Octets de mémoire, d'où l'utilité de la compression pour gagner de la place et améliorer la vitesse de restitution.

Le support DPMS est un système d'économie d'énergie qui provoque la mise en veille du moniteur au bout d'un certain laps de temps.

La carte modem

Le modem permet de surfer sur Internet et d’accéder aux différents services du « réseau des réseaux » (les sites de la « toile » (www), le transfert de fichiers (ftp), les e-mails, les chats,…). Les logiciels de communication fournis généralement avec le modem permettent également d’envoyer et de recevoir des télécopies (FAX), d’émuler un terminal de minitel et de servir de répondeur enregistreur. Les modems qui fonctionnent en « mode autonome » accueillent les télécopies même quand l’ordinateur n’est plus sous tension. Le « modem vocal » fonctionne comme une boîte vocale d’enregistrer des messages personnalisés

Les premiers services (Bulletin Board System) du premier réseau (fidonet) étaient gratuits et disponibles 24h/24h. Les premiers modems affichaient une vitesse de 300 bps (bit per second).

Le modem peut prendre la forme d’une carte modem insérée sur la carte mère, ou la forme d’un boîtier externe connecté à un port série ou USB, ou enfin la forme d’une carte PCMCIA (PC CARD). Les modems externes permettent de voir les diodes qui témoignent de l’activité réseau, de ne pas occuper un des connecteurs de la carte mère et d’être facilement installé au besoin sur un autre ordinateur.

Les cartes modems sont de différents types:

Le modem permet de moduler et de démoduler (« MOduler et DEModuler ») l’information afin qu’elle soit transportable sur le réseau téléphoniqueRTC. L’information numérique ou digitale de l’ordinateur est transformée (les bits sont convertis en modulation de fréquence) en information analogique par l’émetteur pour circuler sur le câble téléphonique, puis celle-ci est de nouveau transformée (le signal analogique est démodulé) par le récepteur pour redevenir digitale. Le modem d’un même ordinateur effectue alternativement un travail de modulation pour émettre, et un travail de démodulation pour recevoir l’information de son correspondant. Un message passe donc par deux modems et la vitesse de transmission de celui-ci correspond à la vitesse du modem le plus lent. Les modems comparent leur vitesse respective (on dit qu’ils négocient) et s’accordent sur le plus grand dénominateur commun.

Les modems sont désormais pilotés directement par le système d’exploitation qui transmet les ordres de l’utilisateur par l’intermédiaire de commandes AT. Le fabricant du modem fournit un fichier d’information de configuration (un fichier doté de l’extension .INF) qui explique aux systèmes d’exploitation WINDOWS 95&NT la façon de procéder.

Les modems disposent d’un contrôleur d’erreur qui assure qu’aucune données n’est altérées ou perdues, et utilisent la compression de données qui en accélère le transfert

Les modems PLUG & PLAY permettent une configuration rapide et transparente.

Les modems sont des appareils de type série, c’est à dire que l’information (un bit) circule à la queue leu leu (bit après bit), tandis que les appareils de type parallèle transfèrent plusieurs informations en même temps et sont donc plus rapides. Le port série auquel est connecté le modem externe doit être de la classe UART 16550 afin de ne pas ralentir le transfert des données (sinon le port série limite la vitesse de transfert à 14,4Kbps) et de bénéficier de la vitesse maximale du modem. L’utilitaire MSD.EXE (MicroSoft Diagnose) permet de connaître toutes les caractéristiques d’un ordinateur tournant sous MSDOS 6.22. Les ports séries de l’unité centrale et du modem externe peuvent comporter un nombre de 9 ou 25 broches, fort heureusement des adaptateurs permettent si besoin de les concilier. Le port série COM 1 est souvent utilisé pour la souris, il faut alors installer et configurer le modem sur le port série COM 2.

Les modems qui disposent d’une mémoire flash (flash ROM) peuvent être mis à jour (Self Memory) et peuvent servir de répondeur enregistreur et de fax, même si l'ordinateur est hors tension.

Les modems répondent à différents standards qui sont des normes internationales. La vitesse et le standard doivent être supportés par le Fournisseur d’Accès à Internet (FAI en français ou ISP pour Internet Services Provider en anglais). Les standards ne sont pas toujours compatibles entre eux et leur vitesse de transmission est alors réduite : v.42/v.42bis, v.32 bis, v.34, v.34 extended, 56K x2, 56K Kflex,

La vitesse de transfert des modems s’est largement accrue avec le temps : 300, 1200, 2400, 9600, 14400, 28800, 33600, 56600 bps ou 56,6 Kbps (Kilo bips per second). La meilleure des vitesses est la vitesse la plus rapide pour accélérer le téléchargement des pages WEB de plus en plus sophistiquées, attractives et interactives! ! ! La vitesse de transmission peut également s'exprimer en "BAUD", du nom d'un militaire français, cette mesure emploie la notion d'unité d'information plutôt que celle du nombre d'impulsion. La vitesse de transmission ou de téléchargement dépend des capacité du serveur intérogé, de la bande passante disponible sur le réseau (du traffic),etc...

RNIS (Réseau Numérique à Intégration de Service) est une autre solution pour accéder aux réseaux. RNIS est souvent appelé NUMERIS. Les informations numérisées circulent sur le réseau téléphonique en cuivre (le RTC) comme avec un modem classique, mais à une vitesse plus importante. RNIS permet de surfer et de téléphoner en même temps. RNIs correspond à une utilisation d'Internet intense et à haut débit. RNIS convient aux entreprises, au télétravail, à la vidéoconférence et aux accros des jeux en réseau.

RNIS propose deux formules :
Le matériel RNIS lui est propre à la société France TELECOM : le modem RNIS ou le convertisseur RNIS externes, le port série UART 16550, le bouchon NT1 (Network Terminator N°1), la carte RNIS sur connecteur PCI uniquement, l'abonnement auprès de France TELECOM,…

Avant de souscrire un abonnement à RNIS, il faut s'assurer que le Fournisseur d'Accès à Internet (ou ISP) est compatible avec le réseau RNIS.

Le câble de la LYONNAISE des EAUX est une autre façon de se connecter à Internet (solution propriétaire pour un débit théorique de 500 Kbps), et permet en plus de recevoir les chaînes de la télévision câblée du continent européen. L'abonnement, le câblage et la location du boîtier de modem sont aussi spécifiques et sont installés par un technicien NOOS. Le câble est une solution disponible pour les quartier ou les villes qui ont été "câblés", sinon il faudra se contenter d'un modem classique.

Le satellite permet de "downloader" des données à 400 Kbps, mais nécessite toujours un modem pour les "upload".

La carte contrôleur SCSI

La carte contrôleur SCSI (Small Computer System Interface) permet de contrôler 7 périphériques SCSI en même temps et jusqu’à 15 périphériques pour les SCSI Ultra Wide. Un seul contrôleur gère tous les périphériques de la chaîne SCSI, et seule une IRQ est utilisée.

Les périphériques SCSI sont plus rapides que les périphériques de type IDE, et certains peuvent transférer jusqu’à 40 Méga Octets par secondes. Certains périphériques spécifiques, comme des graveurs et des unités de sauvegarde à bande DAT, ne sont disponibles que sous la norme SCSI.

L’interface SCSI est compatible avec tous les systèmes d’exploitation : DOS, UNIX, LINUX, OS/2, WINDOWS 95&98 et WINDOWS NT. Plusieurs cartes SCSI peuvent cohabitées ensembles sur un même ordinateur.

Tous les périphériques SCSI externes possèdent deux connecteurs SCSI de 50 broches (appelés CENTRONICS). L’un des deux connecteurs permet de relier le périphérique à la chaîne existante (soit à l’un des périphériques SCSI externes, soit au connecteur SCSI de la carte contrôleur SCSI). Le deuxième connecteur permet, soit de continuer la chaîne (avec un câble SCSI vers un autre périphérique SCSI), soit de l’arrêter (avec un terminateur).

L’utilisation et la configuration d’une chaîne SCSI requière que chaque périphérique soit identifié par un numéro ID unique (de 0 à 7 ou de 0 à 15). La carte contrôleur SCSI porte également un numéro ID et celui-ci est par défaut égal à 7. Les numéros ID de chaque périphérique SCSI sont configurés à l’aide de cavaliers ou avec une molette. Les cartes SCSI à la norme SCAM (Configured Automatically) vérifient et attribuent automatiquement un numéro ID unique pour chaque périphérique.

La chaîne SCSI doit être « terminée », c’est à dire que le dernier périphérique de la chaîne doit signaler à la chaîne qu’il est le dernier. Sur une chaîne SCSI externe, c’est le dernier périphérique qui porte le « terminateur » ou le bouchon. A défaut, le périphérique ne sera pas reconnu, et au pire toute la chaîne ne fonctionnera pas. Sur une chaîne SCSI qui ne comporte que des périphériques internes, c’est la carte contrôleur SCSI qui porte le terminateur (ce terminateur doit être enlevé quand un périphérique SCSI externe est rajouté à la chaîne (bien sûr, des périphériques SCSI internes et des périphérique SCSI externes peuvent cohabiter ensembles), et c’est alors le dernier périphérique SCSI externe qui doit porter le terminateur). Il ne doit avoir qu’un seul des périphériques de la chaîne SCSI qui doit être « terminé ».

Les différents périphériques d’une chaîne SCSI doivent être de préférence de la même classe SCSI (SCSI I, SCSI II, SCSI III, SCSI IIII,…) pour fonctionner correctement.

La carte contrôleur SCSI se connecte sur un des connecteurs PCI (on dit aussi un des bus 32 bits) de la carte mère.

La carte contrôleur SCSI possède un BIOS qui doit être compatible avec le BIOS de la carte mère (c’est le cas quand le BIOS de la carte mère est antérieur à celui de la carte contrôleur SCSI). Quand la carte contrôleur SCSI possède un BIOS flash, celui-ci peut être actualisé si nécessaire.

La carte contrôleur SCSI est munie de mémoire cache (mémoire RAM) qui accélère le traitement des données.

La carte contrôleur SCSI peut être dites « bus mastering », auquel cas les informations sont transférées plus rapidement.

La carte contrôleur SCSI peut être PLUG & PLAY ce qui facilite l’installation du pilote.

La broche N°1 des nappes SCSI est identifiable par un fil rouge.

La carte contrôleur SCSI est généralement fournie avec des utilitaires de diagnostic qui permettent de vérifier le bon fonctionnement de la chaîne SCSI et de connaître les numéro ID de chaque périphérique qui la compose.

La carte son

La carte son est indispensable pour profiter des musiques, des paroles et des ambiances sonores des jeux interactifs, des CDROM multimédia et des sites Internet. La qualité de la restitution sonore est très subjective, et requière de l’écouter de ses propres oreilles pour se faire une opinion.

Les cartes sons peuvent être installées, soit sur un connecteur ISA 8 bits ou 16 bits, soit sur un connecteur PCI 16 bits. La carte son est équipée généralement d’une sortie stéréo, d’une entrée microphone et d’un port jeu à 15 broches. Le petit câble audio du lecteur de CDROM doit être connecté à la carte son afin de permettre l’écoute des CD AUDIO.

La carte son doit être compatible SOUND BLASTER et accompagnée du pilote adéquat. Les cartes son récentes sont livrées avec un maximum de logiciels : lecteurs de fichiers au format WAV ou MIDI, lecteur de CD AUDIO, table de mixage, éditeur audio numérique, logiciel de reconnaissance vocal, lecteur de fichiers texte,…

La carte son doit être capable de lire différents formats de fichiers sonores:
Les cartes son sont appelées des cartes son 8 bits, 16 bits ou 24 bits selon qu’elles permettent de restituer 256, 65000 ou 16 millions de nuances sonores. Les enregistrements sonores sont généralement effectués en 16 bits, aussi une carte son 16 bits suffit généralement pour en restituer la qualité sonore.

Les cartes son proposent un taux d’échantillonnage de 22 Kilo Hertz (kHz), de 44 kHz (ce qui correspond à la qualité du signal audio délivré par un CD AUDIO) ou de 96 kHz (ce qui correspond à une qualité professionnelle ; ces cartes sont très chères et sont dédiées à l’enregistrement et au mixage multipiste numérique, elles ne permettent pas de lire directement des CD AUDIO et ne sont pas très compatibles avec les CDROM ludiques). Plus l’échantillonnage est élevée et plus la définition sonore est précise.

Une carte son 16 bits utilise la modulation de fréquence (FM) à partir de laquelle sont crées des imitations sonores qui restent imprégnées par la patte de l’informatique. A contrario, une table d’ondes (WAVE TABLE) stocke dans des mémoires dédiés des sons réels qui sont numérisés, et la qualité de la restitution sonore dépend de la qualité de l’échantillonnage de chaque son stocké sur la table d’ondes de la carte. Les tables d’ondes répondent à la norme MIDI et concernent essentiellement les sons musicaux ; les voix et les sons naturels sont enregistrés au format WAV. Les fichiers MIDI sont peu volumineux, l’accès à partir d’un CDROM y est donc très rapide et la qualité est proche de celle d’un CD AUDIO. La table d’onde permet d’améliorer nettement le confort d’écoute des applications multimédia (notamment depuis le WEB), et la qualité sonore des fichiers MIDI est bien meilleure que celle des fichiers WAV.

Le port jeu des cartes son permet d’y connecter une interface MIDI, laquelle n’est que très rarement livrée avec la carte son, il faut donc l’acquérir séparément.

Les expressions « carte son 3D » ou « son spatial 3D » signifient qu’il est possible d’adjoindre des effets de réverbération ou d’écho aux sons.

L’interface MIDI (Musical Instrument Digital Interface) est un standard international qui permet, via un logiciel de création musical appelé séquenceur, de recevoir et d’envoyer des informations à des synthétiseurs, des modules de sons, des racks d’effets, des échantillonneurs externes, des tables d’ondes… Les fichiers MIDI peuvent être exploités par n’importe quelle interface MIDI, ainsi une composition musicale réalisée en MIDI peut être jouer sans l’intervention humaine. Les informations contenues dans les fichiers MIDI sont des évènements (comme la note, son hauteur, sa durée, son intensité, sa texture,…), et ces événements ne sont pas des fréquences sonores, c’est pourquoi ils ne sont pas plus volumineux qu’un fichier ASCII.
L'interface MIDI permet de piloter, depuis un logiciel de composition musicale, des instruments de musiques numériques comme les synthétiseurs et les EXPANDERS connectés au port parallèle. L’interface MIDI permet de simuler un véritable studio d'enregistrement et d’être à la tête d’un orchestre philharmonique. L’interface MIDI est donc désormais un des outils indispensables pour le compositeur, par contre un amateur ou un joueur peuvent se contenter de la table d’onde de la carte son.

Une interface MIDI classique gère 16 canaux, ce qui permet de disposer simultanément de 16 instruments différents. Le connecteur MIDI permet à l’ordinateur de communiquer avec des instruments MIDI. Les musiciens professionnels optent pour des interfaces MIDI qui se connectent au port parallèle, ou sur un des connecteurs ISA 16 bits de la carte mère, ce qui permet de gérer 128 canaux ou 128 instruments simultanément.

Les applications sonores sont nombreuses, outre le multimédia, le logiciel de reconnaissance vocal VIAVIOCE d’IBM permet de dicter des textes, des e-mails vocaux peuvent être envoyés en pièce jointe (avec un enregistrement au format WAV 8 bits à 11 kHz, le fichier ne sera pas trop long à télécharger), la téléphonie Internet permet de téléphoner dans le monde entier au prix d’une communication local (l’interlocuteur doit être équipé d’un ordinateur et d’un logiciel de communication FULL DUPLEX).

La carte son va de pair avec de bons Haut-parleurs. Les cartes son 16 bits sont équipées d’un amplificateur intégré, mais qui ne dépasse pas la puissance de 6 WATTS.

Une fois l’installation physique de la carte son, il faut installer le pilote de celle-ci qui est fournie avec le matériel par le constructeur. Il faudra éventuellement modifier la position de certains cavalier sur la carte son si la configuration par défaut du canal DMA et de l’IRQ est déjà utilisée par un autre matériel. L’attribution de la plage DMA et du numéro d’interruption IRQ est effectuée automatiquement avec une carte son PLUG & PLAY. Enfin, les logiciels fournies (table de mixage, lecteur de CD AUDIO, lecteur MIDI,…) avec la carte son sont installés. Après avoir redémarrer l’ordinateur afin que la nouvelle configuration soit prise en compte, un logiciel de diagnostic peut être lancé afin de tester le format MIDI et le transport du signal stéréophonique par exemple…

La carte réseau

Les réseaux sont classés en fonction de différents critères :
La carte d'acquisition vidéo

La carte d'acquisition vidéo permet d'importe des vidéo sur un ordinateur. La carte d'acquisition vidéo s'enfonce sur un connecteur PCI de la carte mère.

Les séquences vidéos peuvent être enregistrées dans différents formats : le format AVI développé par la société MICROSOFT, le format MJPEG qui est un format de compression de la qualité d'une cassette vidéo VHS, le format MOV de QUICK TIME pour MACINTOSH, le format MJPEG-1 et le format GIF animés pour Internet, le format MJPEG-2 pour les DVD,…

Une vidéo de 10 secondes en haute résolution, plein écran, à 25 trames par seconde occupe 10 Méga Octets.

La carte d'acquisition vidéo est souvent accompagnée de logiciel de montage vidéo comme ADOBE PREMIERE et d'un logiciel de retouche d'image comme PAINT SHOP PRO.

La carte TV

La carte TV permet de se servir de son ordinateur comme d'un écran de télévision.




« Les spécifications techniques d’un ordinateur compatible IBM PC »
Patrick HAUTRIVE – 170, rue Marcadet 75018 Paris France