L'installation du systèmes d'exploitation Linux varie selon
les distributions et les versions. Le processus d'installation est généralement
pris en charge par un programme ( "l'installer") qui assiste l'utilisateur
dans la reconnaissance et la configuration des matériels et des logiciels.
Les procédures des distribution Mandrake, Red Hat et Suze sont considérés
comme les plus faciles (il y a peu de choix à faire en mode normal),
les plus conviviales (l'interface graphique propose de l'aide tout au long
de l'installation) et les plus universelles (une très grande variété
de matériels sont reconnus et leurs pilotes sont intégrés).
L'installation de Linux:
L'installation de Linux
Les avantages de Linux
- Un émulateur WINE pour faire fonctionner les
applications windows sous LINUX.
- LINUX est multi plate forme:
- Les PC INTEL (386, 486, PENTIUM,...)
- Les SPARC de Sun Microsystem
- Les 68000 de Motorola (ancien Macintosh)
- Les POWER PC de Mototrola (nouveau Macintosh, IBM RS/6000,...)
- Les ARM de Netwinders
- Les machines RISC d'Acorn
- Les MIPS de Silicon Graphics
- Les ALPHA de Compaq Digital
- Les ordinateurs de poche (Palm Pilot, Psion Série 5,...)
- Les systèmes dits "embarqués"...
- La communauté internationnale:
- Le compilateur et les outils GNU UNIX
- Le code réseau de Berkeley
- L'interface graphique X window
- Le concept des Logiciels Libres (LL) ou de licence Open
Source
- Le support technique:
- LINUX CARE
- Les groupes de discussion (news)
- Les listes de diffusion (lists)
- Le noyau de Linux est en "open source", libre et gratuit.
- Les nombreuses applications:
- Le serveur web APACHE
- La retouche d'image avec GMP
- La navigation Internet avec NAVIGATOR de Nescape
- Les logiciels de bureautique:
- COREL
- APPLIX
- STAR DIVISION
Avant l'installation
Avant l'installation de LINUX sur un PC, il convient de
sauvegarder
toutes ses données personnelles et de réunir toutes
les informations de la de l'ordinateur. Depuis un système
WINDOWS, il est possible d'imprimer
les paramètres de la configuration
matérielle (Panneau de Configuration + Module Système).
L'utilitaire DOS "
msd.exe" de Microsoft qui se trouve sur les CDROM
d'installation de Windows permet de détecter les différents
composants d'un ordinateur.
Les matériels du marché
sont généralemnt compatibles avec Linux(surtout les grandes
marques qui sont de plus en plus concernées par le développement
du marché Open Source ; les petites marques bénéficient
souvent de pilotes génériques). En toute rigeur, il vaut
mieux se prémunir d'une surprise en essayant de se renseigner au
préalable et en demandant une garantie de fonctionnement sous Linux
et sous telle version de noyau).
- La carte graphique (les Entrées/Sorties,
les plages mémoires, les IRQ)
- La fréquence ligne maximale supportée
par le moniteur (le mode VGA 640x480 à 60Hz est un standard)
- La fréquence horizontale (31,5 à 38
KHz)
- La fréquece verticale (50 à 90 Hz)
- Les numéros ID des lecteurs SCSI
- Le type de connectique de la souris (PS/2 (/dev/psaux)
ou série sur COM1 (/dev/ttyS0) ou sur COM2 (/dev/ttyS1))
- Le type de clavier (fr-latin1, generic 104 key
PC)
Il est prudent de se prémunir d'une quelconque
défaillance en disposant d'une
disquette de boot WINDOWS
(testée de préférence) et d'une
disquette
de boot de LINUX créée à partir de CDROM d'installation
de Linux.
Il faut aussi prendre le temps d'effectuer une sauvegarde complète
et contrôlée de tous ses fichiers personnels.
Il est conseillé de
brancher et d'allumer tous les périphériques
rattachés à l'unité centrale, afin qu'ils soient
détectés et reconnus pendant la procédure d'installation.
Les différents pilotes peuvent être ainsi installés
et les paramêtres réseaux peuvent être ainsi facilement
configurés.
L'installation du serveur X Window pour l'interface graphique requière
au moins 16 Méga RAM.
La cohabitation
entre Linux et Windows
- Le logiciel de partitionnement PARTITION MAGIC
permet de créer, de supprimer et de redimensionner des partitions
(principales, étendue et logiques) afin de gérer l'espace
sur un ou plusieurs disques durs.
- Le programme FIP.EXE (qui se trouve dans le dossier
DOSUTIL du CDROM d'installation de LINUX) permet de réduire la taille
de la partition Windows (avec le système de fichier FAT, FAT 32 ou
NTFS) afin de libérer de l'espace pour LINUX sur un disque dur qui
était entièrement occupé par WINDOWS.
- A partir d'un disque dur vierge, il faut toujours installer
les différents systèmes dans cet ordre: WINDOWS 95/98/ME/NT/2000/XP
+ LINUX en dernier parce que l'installateur de LINUX prend en charge
tout les systèmes de fichier existant et que les démarreurs
de LINUX (LILO pour Linux Loader, GRUB,...) proposent en multi boot le
choix entre tout les systèmes installés. Il vaut mieux éviter
d'installer WINDOWS en dernier parce qu'il s'approprie le MASTER BOOT RECORD
en effaçant toutes les informations qui s'y trouvaient (dans une
telle alternative, il faudrait redémarrer avec une disquette de BOOT
LINUX, lancer le programme LILO et redémarrer).
- La partition d'amorçage de Linux doit se trouver
avant le cylindre 1024.
- Le premier des systèmes d'exploitation WINDOWS
doit être installé sur une partition principale (en
général, c'est la partition "C:\" puisque les ystèmes
Microsoft doivent être installés en premier...) afin de contenir
les fichiers d'amorçages de tous les systèmes Windows présents).
- le système d'exploitation OPEN BSD doit toujours
être installé sur une partion principale (au nombre maximal
de 4).
- Le système d'exploitation LINUX peut être
installé soit sur une partition principale, soit sur une des partitions
logiques contenues dans la partition étendue (le nombre maximal
de partitions logiques est illimié (?), ce qui laisse toute latitude
pour répartir l'arborescence de LINUX dans des partitions séparées...).
La commande " rdev" permet de connaître la partition racine
ou partition d'amorçage d'un système Linux déjà
installé (le noyau se trouve généralement dans le répertoire
"/boot/vmlinuz ").
- Les programmes de partitionnement comme FDISK
(celui de MICROSOFT ou celui de LINUX) ou Disk Druide permettent
de créer et/ou de supprimer des partitions (principales, étendue
et logiques). L'installer de Mandrake(le programme
qui se charge de l'installation de Linux d'un execellent outil
de partitionnement quipermet de créer ou de modifier des partitions
dans une très large gamme de système de fichiers.
- /dev/hda1 pour une partition primaire (type 83 Linux
native) sur un disque IDE
- /dev/hda2 pour une partition swap (type 82 Linux
swap) sur un disque IDE
- /dev/hda5 pour une partition logique (la partition
étendue commence avec hda5) sur un disque IDE
Il est impératif d'installer dans l'ordre les systèmes d'exploitation
du moins puissant au plus puissant:
- DOS
- Windows 95&98
- Windows NT
- Windows 2000
- Linux
Si pour une raison ou une autre, Windows est installé après
Linux, alors celui-ci va s'accaparer le MBR, et Linux ne sera accéssible
que par l'intermédiaire d'une disquette de boot. Il est possible de
forcer la récupération du MBR par Windows en lançant
la commande sous DOS:
Sous DOS:
fdisk /MBR
La procédure
d'installation Linux sur Windows
La procédure d'installation de LINUX sur un disque entièrement
occupé par WINDOWS (C:\)
- Se procurer le CDROM d'installation de Linux.
- Démarrer Windows.
- Créer une disquette de boot Windows avec le module
Ajout / Suppression de Programmes.
- Procéder à la collecte des informations
sur le matériel avec le module Système du Panneau de Configuration
de Windows et/ou réunir la documentation fournie par les
constructeurs.
- Créer une disquette des utilitaires
de partitionnement FIPS.EXE et de RESTORRB.EXE, dans le répertoire
DOS/UTIL du CDROM LINUX. Lire la documentation FIPSDOCS.
- Créer une disquette de boot Linux
avec le programme RAWRITE.EXE: cd X:\DOSUTILS\ "rawrite
-f \images\boot.img -d a:"
- Lancer l'utilitaire SCANDISK de Windows
pour vérifier l'état du disque dur.
- Dans l'EXPLORATEUR:Affichage/Options des Dossiers/Onglet Affichage/Option
Afficher tous les fichiers pour rendre accessible
les fichiers systèmes qui sont par défaut cachés.
- Dans L'EXPLORATEUR: /Outils/Rechercher/Fichiers ou Dossiers/Onglet
Avancé/Option Type "Fichiers Systèmes"/OK pour visualiser
les fichiers systèmes.
- Clic droit sur chaque fichiers systèmes et choisir dans
le menu contextuel la commande Propriétés/Modifier les Attributs
pour désactiver les options "Lecture Seule" et "Fichiers
Cachés" afin que l'utilitaire de défragmentation de MICROSOFT
prennent en compte les fichiers systèmes ("attrib -s -h C:\ /s"
en mode DOS).
- Noter sur une feuille de papier les chemins et les noms
des fichiers systèmes pour rétablir les attributs par défaut
à la fin de la procédure.
- Désactiver la mémoire virtuelle dans le
Panneau de Configuration/Module système/Onglet Performance/Bouton
Mémoire Virtuelle/Option "Me permettre de spécifier mes
propres paramètres de mémoire virtuelle"/Option "Désactiver
la mémoire virtuelle".
- Redémarrer l'ordinateur pour que le système
Windows charge les nouveaux paramètres.
- Lancer la défragmentation du disque dur (utilitaire
DEFRAG.EXE ) pour rassembler tout les fichiers qui y sont
enregistrés sur le lecteur unique (C:\).
- Rétablir les attributs des fichiers systèmes.
- Réactiver la mémoire virtuelle.
- Redémarrer la machine avec la disquette
de boot Windows. Dès le premier écran de démarrage,
rentrer dans le programme du BIOS en pressant l'une des touches F2
ou SUPPR, afin de vérifier la séquence de boot du BIOS et
d'activer si nécéssaire le lecteur de disquette (A:\) en
première position.
- Insérer dans le lecteur la disquette des
utilitaires de partitionnement (FIPS.EXE et RESTORRB.EXE) et lancer
l'uitilitaire /dosutil/fips.exe. Avec une disquette
de boot Windows qui prend en charge le lecteur de CDROM, il est possible
de lancer FIP.EXE depuis le CDROM d'installation de Linux).
- Redimentionner l'unique partition Windows avec
FIPS. Cet utilitaire permet de diviser la partition Windows en deux. Les
fichiers de la partition Windows ayant été regroupés
en début de disque avec DEFRAG.EXE, de l'espace a été
libéré, et cet espace libre est utilisé pour créer
une nouvelle partition pour Linux. FIPS.EXE divise la partition principale
de Windows, non les partitions étendues!!! (Redémarrer et
lancer RESTORRB.EXE, s'il y a eu un problème...)...
- Retirer la disquette du lecteur (éventuellement
rétablir les paramètres BIOS d'origine...)...
- Redémarrer l'ordinateur, en pressant
simultanément les touches CTRL + ALT + SUPPR
- Lancer le programme d'installation de Linux:
- Soit à partir du fichier BATCH du CDROM
d'installation de Linux qu'il faudra lancer sous DOS: /dosutil/autoboot.bat
- Soit à partir du CDROM bootable d'installation
de Linux.
- Soit à partir d'une disquette de boot
Linux (cd X:\DOSUTILS\ "rawrite -f \images\boot.img -d a:")
- Suivre les instructions du programme d'installation,
choisir un mot de passe pour "root" d'au moins 6 ou 8 caractères,
et installer le gestionnaire d'amorçage, le chargeur
LILO par exemple:
- Sur le MBR.
- Sur le premier secteur de la partition de démarrage
(aussi appelée la partition d'amorçage.
- Sur une disquette de BOOT pour démarrer LINUX uniquement
avec celle-ci.
Les méthodes d'installation de Linux
- A partir du lecteur de CDROM s'il est
bootable.
- A partir d'une disquette de boot Windows
(cd X:\DOSUTILS\ autoboot.bat).
- A partir d'une disquette de boot LINUX
(cd X:\DOSUTILS\ "rawrite -f \images\boot.img -d a:").
- A partir d'un disque dur ou entre deux
ordinateurs connectés ensemble par un câble droit (câble
NULL MODEM).
- A partir d'une source réseau
(depuis un lecteur partagé sur le réseau local, depuis Internet).
Les modes d'installation de
Linux
- Le mode normal (taper sur la touche
ENTREE)
- Le mode "texte" (encore le plus fiable)
- Le mode "expert" (pour choisir individuellement
chacun des paquetages RPM)
- Le mode "kick"
- La mise à jour
Les partitions
linux
L'installation d'un système Linux requière au moins deux
partitions, la partition swap et la partition racine. Quand il n'y a que
deux partitions, c'est la partition racine qui contient tous les fichiers
Linux. Par contre, il est possible de créer plusieurs autres partitions
afin de séparer les données sur le disque dur, ce qui permet
par exemple de conserver les données personnelles (/home ), de
limiter le risque de saturation du disque dur (/var et /tmp ), d'installer
de nouvelles applications (/usr), de distinguer l'espace du super utilisateur
(/root) ...
- La partition swap (la partition
pour le fichier d'échange) devrait être égale au minimum
à la quantité de mémoire vive installée sur
l'ordinateur afin de pouvoir recevoir l'image exacte des données
enregistrées dans la RAM. Souvent, il est conseillé de réserver
en swap le double de la quantité de RAM ( 128 Méga
Octets pour 64 Méga Octet de RAM), mais sur de gros serveurs avec
des Giga Octets de RAM, il n'est pas utile d'en réserver autant.
Par contre, il est judicieux de placer la partition d'échange sur
la première partition principale (ou du moins sur la première
partition logique), ainsi l'accès aux données swappées
est plus rapide parce que les données y sont stockées en
début de disque.
- La partition racine ("/") devrait être
égale à au moins 500 Méga Octets. Avec la séparation
des autres partitions, celle-ci devrait être relativement stable,
puisqu'elle ne contiendrait que des répertoires "systèmes"
(/bin, /dev, /etc, /initrd, /lib, /mnt, /proc et /sbin).
- La partition des données personelles
(/home) permet de conserver les fichiers personnels ( 100 Méga
Octets par utilisateurs ou plus selon...) sur une partition distincte
de la partition racine; ainsi, il devient possible de procéder
à une mise à jour ou une réinstallation complète
d'un système Linux sans pour autant perdre les données personnelles
des utilisateurs.
- La partition de démarrage (/boot)
devrait être égale à au moins 30 Méga
Octets (facultative).
- La partition des programmes (/usr) contient
les programmes (les CDROMs d'installation de Mandrake peuvent contenir
jusqu'à 3 Giga Octets d'applications) . Selon
l'utilisation du système, le nombre des applications installées
peut plus ou moins osciller; toutefois, le temps et l'expérience
montrent que la place des programmes tend à s'accroître très
rapidement.
- La partition du super utilisateur (/root)
permet de conserver les fichiers personnels de l'administrateur (100
Méga Octets); même si celui-ci devrait ouvrir un autre compte
quand il fait un usage personnel du système!
- Les partitions dynamiques (/var pour
"variable et /tmp pour temporaire) sont appelées ainsi parce que
soit le système, soit des services ou simplement des utilisateurs
peuvent y enregistrer des données. Ce dispositif permet par exemple
de sécuriser un système en enregistrant les différentes
opérations éffectuées grace aux journaux (fichiers
"log"), d'installer des applications avec un espace libre pour décompresser
des fichiers, ou bien de permettre aux utilisateur de disposer d'un espace
ouvert à tous (par défaut, n'importe quel utilisateur peut
lire, écrire ou executer des fichiers dans le répertoire "/tmp").
Il faudrait y consacrer au moins 500 Méga Octets pour une station
de travail, mais bien plus s'il sagit d'un serveur web!
L'installation du chargeur Linux
L'installation du chargeur Linux s'effectue pendant la procédure
d'installation du système. Le chargeur est un programme de démarrage
qui est lancé dès l'initialisation de la machine afin de
charger en mémoire vive les fichiers du systèmes d'exploitation
( le noyau Linux). Il existe sous Linux différents
chargeurs
(LILO, GRUB,...) qui permettent, le cas échéant
de reconnaître la présence d'autres systèmes d'exploitation,
et de les proposer dans
le menu de multi boot.
Le chargeur de Linux peut être installé dans différents
endroits:
- La partition d'amorçage,
c'est à dire le premier secteur de la partition principale active
, autrement dit sur le MBR (Master Boot Record). Cette solution permet
le multi boot, c'est à dire la possibilité de démarrer
une machine avec différents systèmes d'exploitation. Sous
DOS, la commande "fdisk /MBR" permet de réatribuer la totalité
du MBR à Windows. Toutes les données autres que celles concernant
les systèmes Microsoft y seront éffacées et Linux ne
pourra plus démarrer; il faudra relancer la machine avec une disquette
de boot Linux (ou à l'aide du CDROM d'installation en mode "rescue
"), "chrooter" la racine et relancer le programme "/boot/lilo " après
avoir éventuellement modifier le fichier "/etc/lilo.conf ".
- La disquette de boot. Le système
Linux ne peut alors démarrer qu'au moyen de cette disquette sur
laquelle se trouve enregistré le nom de la partition qui contient
les fichiers systèmes de Linux. Souvent, c'est une solution qui
est retenue pour une machine qui démarre la plus part du temps sous
Windows.
- La partition système de Linux (la
partition racine "/" comme par exemple "/dev/hda5"). Pour démarrer
Linux, il faut qu'un programme de multi boot (un chargeur comme BOOT MAGIC
) soit installé sur le MBR afin qu'il redirige, pendant la procédure
de démarrage, à l'adresse sur le disque dur de cette partition
système. L'indication de la partition système de Linux peut
également se trouver dans le fichier "C:\boot.ini" de Windows NT.
Le menu du chargeur propose le démarrage des différents
systèmes d'exploitation installé sur la machine:
- linux (par défaut)
- dos (pour accéder au menu proposant
les systèmes d'exploitation Windows)
- floppy (pour démarrer à
partir d'une disquette de boot)
- Linux (Fail Safe)
La configuration du
fichier "/etc/lilo.conf"
avec un délai d'attente à ZERO permet de lancer instantanément
le système par défaut. En appuyant sur la
touche MAJ,
la présentation du menu de boot de LILO peut être forcée.
La
touche TAB permet de basculer la sélection d'un système
à l'autre.
L'image de Linux peut être protégée par un mot de passe.
Les images
ISO de Linux
Les images ISO de Linux sont téléchargeables
depuis les sites Internet des principales distributions et des sites mirroirs
. Les images ISO sont conçues pour être gravées sur des
CDROM. Une fois gravées les CDROM (un, deux, trois ou plus) sont "
bootables" et permettent de procéder à une installation
du système Linux.